L'épingle et les solos de guitare

En direct de l'épingle, après un show endiablé.
Faulkner est fatigué, nous avec.

Mais tout le monde est content.
Même Éric Lapointe qui nous a fait l'honneur d'un featuring sans alcool.

Un français curieux a même découvert là par hasard le folk-country de Faulkner avec étonnement. Un fan de plus.

Prochaine destination: les Francos.
On s'en reparle, là, on s'en va se coucher.
Bonne nuit.
s.

Auto-pub

Vous ne trouvez pas que je prends soin de vous depuis une semaine?
Trois posts en moins de 10 jours... Le gros luxe.
Celui-ci sera court, si j'arrête de m'auto-référencer de la sorte.

C'est juste pour dire que Faulkner et sa bande se dégourdiront les doigts dans l'antre de la bête elle-même, à l'inspecteur épingle, ce dimanche 30 mai à 21h30.

Ce sera une façon de se mettre en forme avant qu'ils aillent se produire deux soirs en Gaspésie en juin prochain.
Nous serons de la partie, ce dimanche et en Gaspésie, si ça vous intéresse.

Allez, venez donc. C'est pas loin, vous risquez d'être dans le film pis les bocks sont à 2,50$.
Pis y'a même pu de hockey, aucune raison valable pour ne pas vous pointer la face à l'épingle.

On se voit là-bas mes mignons.
s.

L'Abitibi, on y va, mais on en revient aussi.

L'Abitibi, c'était le fun.

Y faisait beau, y faisait chaud, y'avait du monde en masse à rencontrer au Cabaret de la dernière chance et à l'Aquarium Café.

Ce que nous avons ramassé dans notre kodak durant ces 4 jours:

1. Stephen qui parle avec le gars le plus chaud que j'ai vu depuis ben longtemps.

2. Doris joué par Stephen au piano dans un cabaret fermé, une cigarette fumant devant lui.

3. La game #4 Canadiens-Flyers dans la chambre 202 de l'hôtel des Gouverneurs.

4. Deux beaux shows.

5. Un rat musqué dans le lac Osisko.

6. Un club chez Morasse à 1h du matin au retour d'Amos.

7. Le départ de Stephen en avion en direct de la piste.

8. ben d'la route.

On reviendra Rouyn-Noranda!

Pis on avait l'air de ça:

Merci à Karine Dubois pour la photo, à François Delagrave pour son Iphone et à Stéphane Poulin pour l'ensemble de son oeuvre et surtout les tounes cochonnes sur son ipod.

s.

Abitibi mon amour

Dernier tournage: février 2010.

Disons qu'on ne s'épuise pas à la tâche.

Mais le printemps en forme d'été qui nous fait de l'oeil en ce moment donne aussi l'occasion de tourner en masse dans les semaines qui viennent, jusqu'à ce que ce fameux tournage se termine, finalement, vers la fin juin. Je le croirai quand ça arrivera.

Voilà plus d'un an et demie que le tournage est amorcé. Malgré l'envie que ça se termine, ça créera sans doute un grand vide pareil...

En attendant, on tourne à partir de demain sur la belle route séparant Montréal et Rouyn. Et oui, l'interminable 117 s'étendra devant nous ce vendredi et se déroulera jusqu'à ce qu'on arrive au Cabaret de la dernière chance où Stephen fait un spectacle dans le cadre du Festival des guitares du Monde de l'Abitibi-Témiscamingue vendredi soir. Et dimanche, c'est Amos qui nous dévoilera ses charmes alors que Stephen sera à l'Aquarium café.

Au menu donc: spectacles, routes et motels, trois de mes activités préférées dans la vie après lire le journal, boire du café et jouer au baseball.

Après cette fin de semaine Abitibienne, Montréal nous fera l'honneur d'accueillir deux spectacles de Stephen, soit le 30 mai à l'épingle et le 17 juin... Quelque part. On en reparlera. Mais nous on le sait et on y sera...

Et puis nous reprendrons encore la route, direction Gaspésie, pour deux spectacles à Bonaventure et Petite Vallée. Après, nous laisserons tomber les armes et le 7 passagers de location pour s'asseoir dans une salle sombre pour mettre en ordre ces images glanées sur plus d'un an et demie.

Plein de nouveaux collaborateurs s'ajoutent aussi à l'équipe du film, dont le générique s'allonge toujours au fur et à mesure qu'on ajoute des tournages... Mes fidèles amis Bruno Pucella, Geneviève Perron et Jonathan Decoste reviendront au bercail bientôt, mais puisqu'ils avaient tous des projets sous d'autres cieux, c'est François L.-Delagrave qui chauffera le kodak en Abitibi, accompagné de Stéphane Poulin au son (fan fini de Faulkner qui a tout abandonné pour nous suivre) et Karine Dubois comme coordo/assist-réal et autres tâches connexes.

Du fonne on en aura.

Et aussi, ajout majeur à l'équipe officielle: le grandiose Simon Sauvé (réalisateur/monteur de l'excellent film Jimmywork) a été confirmé comme monteur image du projet. Tellement confirmé qu'il est parti en feu et monte des images comme un fou. Des belles choses s'en viennent sur le timeline, c'est moi qui vous le dit.

Nous avons aussi l'honneur de nous retrouver dans le giron de Locomotion à la distribution.

Bref, même quand on tourne pas, y s'en passe des affaires...

Je vous reparle de notre virée en Abititi, vous, mes deux lecteurs qui n'ont pas encore abandonné le bateau de ce blog triste qui ne dit pas grand chose ou du moins, pas souvent.

Je vous aime pareil.

S.